On l’a accusée de tous les maux : détourner les femmes de la maternité, les dissuader d’allaiter, défendre l’industrie du biberon, détester les enfants (elle en a trois)… Pour certains, Elisabeth Badinter ne mérite même plus l’étiquette de "féministe".
Et pourtant, son dernier essai, Le Conflit, la femme et l’enfant tente, au contraire, d’imposer l’idée qu’il y autant de manières d’être femme que de porteuses des chromosomes XX et de rassurer celles qui ne se reconnaitraient pas dans le modèle dominant.
"Les femmes de ma génération ont refusé d’être comme leurs mères et ont choisi l’indépendance. Nos filles ne font pas de cette indépendance la priorité de leur vie, trouvent que nous avons été consuméristes à l’excès et que nous n’avons pas obtenu les résultats que nous attendions", constate, sans amertume Elisabeth Badinter : elle attend la relève.
Vous pouvez lire son interview sur Les Chroniques de Mary Goodnight.
Et pourtant, son dernier essai, Le Conflit, la femme et l’enfant tente, au contraire, d’imposer l’idée qu’il y autant de manières d’être femme que de porteuses des chromosomes XX et de rassurer celles qui ne se reconnaitraient pas dans le modèle dominant.
"Les femmes de ma génération ont refusé d’être comme leurs mères et ont choisi l’indépendance. Nos filles ne font pas de cette indépendance la priorité de leur vie, trouvent que nous avons été consuméristes à l’excès et que nous n’avons pas obtenu les résultats que nous attendions", constate, sans amertume Elisabeth Badinter : elle attend la relève.
Vous pouvez lire son interview sur Les Chroniques de Mary Goodnight.
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