mercredi 12 janvier 2011

Premiers romans : réunion du 11 janvier

Lors de notre réunion mensuelle nous avons évoqué les 11 romans suivants :
  • Bacalao de Nicolas Cano : Facile à lire mais on a du mal à adhérer à l'histoire. Pas très profond.
  • Requiem pour Lola Rouge de Pierre Ducrozet : Titre beau mais texte incompréhensible
  • Cent seize chinois et quelques de Thomas Heams-Ogus : L'histoire est plus intéressante que le style.
  • Méfiez-vous des enfants sages de Cécile Coulon : A lire. Un peu brouillon (car il s'agit de vies qui s'entrecroisent) mais c'est ce qui fait le charme de ce roman. Très belle écriture poétique.
  • Dans la fuite incessante de Denis Arché : Joli livre. Pas mal. Reste un peu superficiel.
  • Le Confident d'Hélène Grémillon : Bonne lecture, agréable à lire mais rien d'original.
  • L'Echiquier de la reine de Yann Kerlau : Roman historique sur Christine de Suéde qui se lit bien.
  • Saltarello de Matthieu Dhennin : Roman historique qui nous apprend beaucoup de détails sur la vie des parisiens au XIV° siècle.
  • Le masque du Gerfaut de Sonia Alain : Roman historique et d'amour, sans rien d'original.
  • Qu'avez-vous fait de moi d'Erwan Larher : De bonnes idées mais pas aboutit.
  • Les trois saisons de la rage de Victor Cohen-Hadria : A lire. Histoire d'un médecin de campagne au XIXeme siècle qui soigne aussi bien les corps que les âmes. On a l'impression de lire du Maupassant.

2 commentaires:

r1 a dit…

Cher M. Gribouille,

Je ne vois aucune objection à ce que l'on critique mon travail, même en une demi ligne.
Mais cela perd hélas! un peu de crédibilité quand dans cette demi ligne se niche une faute d'orthographe.
Et exigeant comme vous semblez l'être, je ne voudrais pas que l'un de vos lecteurs vous prît en défaut.

Cordialement

Erwan Larher

Bifora a dit…

He, M'sieur Larher, moi je ne travaille pas dans cette bibliothèque, mais il me semble que quand on publie une oeuvre, il faut s'attendre à ce qu'elle ne soit pas appréciée de tous ! Sinon, mieux vaut la laisser dans un tiroir. Les employés de bib' ne sont pas des critiques littéraires, le métier a d'ailleurs disparu en France, ne vous attendez pas à une étude approfondie. Cette demi-ligne qui vous chagrine aura au moins permis de faire une occurrence supplémentaire de votre titre chez Google.
Pour paraphraser Wilde : "Que l'on parle de vous [en une demi-ligne seulement] c'est affreux ; mais il est une chose pire : c'est qu'on n'en parle pas."

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